Que pouvez-vous faire pour contribuer encore davantage ?

• Portez-le , utilisez le produit jusqu'à ce qu'il s'effondre littéralement. Nous travaillons constamment pour le rendre plus durable, mais vous aussi pouvez le faire durer plus longtemps en
• Lavez-le à une température plus froide – il est indiqué 40 degrés sur notre emballage. Beaucoup de gens ont l’habitude de se laver à 60. Nos produits en supportent facilement 60, mais 40, c’est largement ! A 40 ans tu es clean et tu sens bon !
• Utilisez moins de lessive en poudre/liquide . Voyez si vous pouvez réduire la dose. Souvent, cela n’a pas d’impact sur le résultat, mais vous pouvez en utiliser moins.
• Recycler . Peut-être difficile de transformer des sous-vêtements troués en t-shirts, mais vous voyez ce que nous voulons dire.
• Porter à l’envers et laver seulement toutes les 2 fois ? Non, oublie qu'on a même dit ça. Techniquement possible, mais n'élimine pas les odeurs et la saleté.

Arrière-plan

Selon l’ONU, l’industrie vestimentaire émet plus de gaz à effet de serre que tous les avions et navires du monde. 80 pour cent des émissions proviennent de la production de vêtements, et non du transport. Outre les impacts climatiques, la production de vêtements provoque également une pollution locale en microfibres et interfère avec des ressources en eau déjà rares.

Les consommateurs sont de plus en plus conscients de leurs habitudes d’achat de vêtements. Le pays d'origine et la composition des tissus deviennent importants, en plus de l'accent mis sur l'utilisation prolongée et le recyclage. Ce qu'on appelle la « fast fashion » signifie que de grandes quantités de vêtements sont commercialisées au prix le plus bas possible, ce qui entraîne une surproduction et d'énormes problèmes de gaspillage. De plus, les vêtements sont souvent produits dans des pays à bas coûts avec très peu de réglementations et de sanctions liées aux droits des travailleurs, à la pollution des eaux souterraines, etc.